Languissante sous l’adage du désir Dogme des étreintes et de faillir la pudeur Épouvantail j’ouvre le bal Pour qu’à mille lieues de moi Dansent les oiseaux
Et quand l’hiver viendra Ils s’envoleront heureux Bâtiront d’autres nids De la paille glanée Au pied de mon corps
Des entrailles démunie Comme un coucou cassé Je ne chanterai plus
» Krähen auf einem Baum » ; Caspar David Friedrich
Dipsomane, érotomane et végane,
poétesse en déclin, accro au romarin,
cuisinière hors pair et folie capillaire,
sociable mais pour la société peu rentable,
chômeuse invétérée qui apprécie la randonnée,
j'aime aussi les jeux vidéo et le thé chaud,
les jeux de société et le café.
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